Toilettage, gardiennage et éducation : passé et présent de la profession d’EDE

Prologue

Une salle quelconque du Service de Protection de la Jeunesse par un lourd après-midi du mois de juin. Autour d’une longue table, une douzaine de professionnels à l’air grave et dubitatif, attend l’ouverture des débats.

L’enjeu de cette réunion de réseau est de taille : décider si le jeune Alexandre[1] (4 ans) doit être placé en famille d’accueil à plein temps. Invité à cette réunion, j’examine la composition de cette assemblée de professionnels, une question me vient immédiatement à l’esprit : où sont les représentant(e)s du centre de vie enfantine dans lequel Alexandre passe 4 journées par semaine ? Je la pose à l’assistant social du SPJ, hôte et organisateur de cette réunion. Cela ne semble pas le troubler, il n’y avait simplement pas pensé ! Une décision qui influencera la vie d’un enfant et d’une famille de longues années durant, allait se prendre sans même entendre l’avis de son éducatrice de l’enfance (EDE) de référence,  la professionnelle la plus impliquée dans sa vie quotidienne! L’échange commence. L’absence des représentants de l’éducation de l’enfance ne soulève pas de contestations particulières. Rapidement, l’avis de la pédopsychiatrie domine les débats, les participants le reconnaissant comme autorité légitime. L’avis médical devient subrepticement l’avis du réseau: invincibilité de la médecine face à invisibilité de l’éducation de l’enfance !

Personne n’est à l’abri d’un oubli, mais gageons que cet assistant social n’est qu’un des nombreux acteurs du travail social victime d’une représentation obsolète et faussée de la profession d’EDE. Celle-ci paraît être d’ailleurs implicitement partagée par les autres participants du réseau, dont aucun ne semble relever l’absence des acteurs de la petite enfance. D’où viennent dès lors ces représentations ?

Comme l’explique Serge Moscovici[2], toute représentation est le fruit d’un long processus. Un certain nombre d’idées, souvent stéréotypées, de sentiments ou encore d’opinions sont associés à la profession d’EDE dès sa création. Au fil des décennies, ceux-ci vont évoluer ou se consolider, et ensemble, définiront une représentation, socialement partagée de la profession d’EDE. Remontons donc le cours du temps pour essayer de comprendre quels éléments font que, dans la représentation des certains travailleurs sociaux, les EDE n’ont pas « gagné » leur place à la table des professionnels de ce réseau!

Contexte historique des premières crèches

Première moitié du XIXe siècle. La Révolution Industrielle bat son plein dans les pays d’Europe occidentale. Des milliers de familles errent sur les routes à la recherche de travail ou s’entassent dans les faubourgs des grandes villes, bidonvilles putrides hébergeant dans des conditions d’hygiène dramatiques ces forçats de la croissance. La paupérisation des familles contraint les femmes à quitter le foyer familial et rejoindre les hommes dans les industries boulimiques de main d’œuvre, afin de gagner un salaire certes misérable, mais indispensable à la survie de la famille.

Des milliers de mères étant astreintes au travail, la question de la garde des enfants devient rapidement un problème de société. Les réseaux de soutien communautaires sont souvent disloqués avec l’exode rural. Reste alors comme solution pour les plus jeunes enfants, la mise en nourrice à la campagne, souvent fatale à ces derniers puisqu’environ un tiers n’y survit pas[3].

C’est dans ce contexte sous l’impulsion de Firmin Marbeau, qu’est créée à Paris en 1844, une première crèche qui accueille les enfants de 0 à 2 ans. La Suisse emboîtera rapidement le pas à son voisin français, avec notamment l’ouverture de la crèche du Clos de Bulle à Lausanne en 1873, première à ouvrir ses portes en Suisse Romande, suivie de celle de Neuchâtel en 1874, ou encore de Vevey en 1875.

Les crèches comme outils de contrôle social

Qu’est-ce qui a motivé l’apparition de ces premières crèches? De prime abord, il semble que ces établissements soient le fruit d’un élan philanthropique de femmes bourgeoises qui réagissent à la situation sociale et sanitaire catastrophique des enfants de familles ouvrières. En effet, on constate encore au début du XXe siècle des taux de mortalité infantile effrayants  particulièrement dans les couches les plus pauvres de la population (30 fois plus élevée en 1900 qu’en 2005[4]). Il faut aider, certes, mais il faut surtout contrôler. Comme l’indiquent certains témoignages de l’époque, les enfants d’ouvriers sont décrits comme « décimés depuis leur plus tendre enfance » par un grand nombre de maladies[5], souvent contagieuses et menaçantes pour les villes. Les élites pensantes bourgeoises craignent également pour leur sécurité : il s’agit de pouvoir prendre en charge rapidement les enfants du prolétariat afin que ceux-ci ne deviennent pas, plus tard, des délinquants[6].

Ainsi sous couvert d’œuvres humanistes et charitables, les crèches jouent un rôle de contrôle social de premier ordre. Elles permettent et/ou favorisent le travail des femmes, main d’œuvre bon marché nécessaire à la croissance, tout en éduquant non seulement les enfants des classes ouvrières, mais également leurs mères. En effet, rapidement il s’est agi de pouvoir enseigner les rudiments de morale et d’hygiène (les doctrines hygiénistes sont très en vogue) à ces mères afin qu’elles les appliquent dans le foyer familial.

Après un siècle de Révolution Industrielle, force est de constater que le monde ouvrier prend énormément d’ampleur et commence à formuler des revendications politiques importantes : comme l’illustrent les débats autour de la création de la crèche de Vevey (1875), on craignait « la menace d’une dérive socialisante »[7] de la société. Il faut donc intervenir auprès des familles ouvrières et inculquer les valeurs qui permettent à l’ordre établi de perdurer.

Les crèches semblent donc entrer dans les mœurs et se développent rapidement. Se pose cependant la question du lien mère-enfant très valorisé depuis le XIXe. Pourquoi favoriser le développement d’institutions qui séparent les enfants de leur mère ? s’insurgent les détracteurs. Comme souvent la réponse est économique : il faut mettre en avant la nécessité du travail des femmes quitte à les séparer partiellement de leur enfant, ce qui fait de la crèche un « mal nécessaire »[8].

Il est important de relever que les crèches accueillent les enfants des femmes qui travaillent certes, mais qui doivent être de bonne moralité : pas de place donc pour les filles mères ou encore les mères célibataires ! Les tarifs du prix de la journée varient d’un établissement à l’autre et représentent un montant qui peut aller d’un cinquième à un tiers du salaire d’une journée de travail.

Notons encore que les crèches ont bien souvent une connotation chrétienne marquée, de par leur appellation, mais également dans leur organisation et leur personnel. A Neuchâtel par exemple, la gestion de la crèche est confiée dès 1884 aux sœurs diaconesses (étym. « au service de Dieu ») de Berne. La plupart du temps, les crèches sont d’ailleurs qualifiées d’œuvre de « bienfaisance »[9].

Enfin, relevons encore que les crèches sont souvent le fait d’initiatives privées, les différents acteurs politiques s’impliquant en général assez peu dans leur mise en place si ce n’est au travers de diverses réglementations.

Les balbutiements d’une « profession »

Le personnel des crèches est exclusivement féminin. Il est en principe composé d’une directrice et de plusieurs auxiliaires ou gardiennes. Les employées des crèches sont sélectionnées la plupart du temps par des comités sur des critères tels que le sens de l’ordre, de l’économie, ou encore la piété[10]. Le personnel des premières crèches n’a donc pas de formation particulière. En France par exemple, les employées ou gardiennes, ne doivent présenter qu’un certificat de bonne moralité et de bonne santé[11]. Un accent particulier est mis sur les mères de bonne moralité, femmes qui ont déjà élevé leurs enfants[12].

Cela donne une idée de la faible valeur sur le plan professionnel qui est attribuée au travail de prise en charge des enfants. Dans certains cas, notamment en France, un homme intervient cependant dans ces lieux de garde : il s’agissait du médecin inspecteur, chargé de vérifier les conditions d’hygiène[13].

Comme le souligne Catherine Bouve, les préoccupations premières des crèches et du personnel qui y travaille sont d’ordres sanitaire et hygiéniste[14]. Ainsi les soins physiques occupent l’essentiel du temps passé avec les enfants. Pas ou peu de place pour le jeu, aucune pour l’observation et encore moins pour la collaboration avec les parents qui doivent être « éduqués » ou moralisés en même temps que leurs enfants. Les autres tâches du personnel des crèches tournent essentiellement autour des corvées ménagères. Les conditions de travail sont précaires. Les journées commencent tôt le matin (dès 5h30-6h) et finissent tard en soirée, le nettoyage et repassage étant le plus souvent assurés par les employées de crèche après le départ des enfants (20h30). Et tout cela pour un salaire assez misérable en regard d’autres professions de cette période.

De plus, le taux d’encadrement (nombre de professionnels par enfants), élément très polémique de nos jours, est très faible, puisqu’une employée pouvait être en charge d’une dizaine d’enfants durant la journée. Surcharge et turn-over élevé sont donc déjà monnaie courante dans les crèches…

Ainsi, entre corvées ménagères et soins physiques aux enfants, la fonction des employées de crèches ne se limite malheureusement qu’à du gardiennage.

A l’aube d’une ère nouvelle ?

Après un siècle d’existence, le bilan de ce qui sera la profession d’éducatrice/teur de l’enfance est peu reluisant : pas ou peu de formation, les compétences maternelles suffisent (!) ; des tâches orientées sur le « ripolinage » des enfants et des locaux ; des employées au service d’une entreprise de charité et de moralisation des classes laborieuses, etc. Rajoutons à cela le fait que les parents recourent aux crèches parce que leur situation économique quasi indigente les y force, les qualités associées à cette profession en devenir sont faibles malgré les éléments positifs apportés par les crèches (surtout au niveau sanitaire)[15]. Enfin rappelons que ce métier est exclusivement féminin, élément qui à l’époque déjà, ne contribuait pas à sa reconnaissance…

Cependant, dès les années 50,  le développement des connaissances sur l’enfant, entraînant dans son sillage celui de la formation, va amener de nouveaux regards sur la prise en charge des enfants.

Durant la première moitié du XXe siècle les connaissances sur le domaine de l’enfance éclosent de manière spectaculaire notamment au travers de travaux de Freud et ses comparses qui démontrent l’influence de l’enfance sur la construction de l’adulte, ainsi que de Piaget qui, par de fructueuses expériences, explique la construction de l’intelligence chez l’enfant. Passé l’apocalypse de la Seconde Guerre Mondiale, les travaux de Bowlby et Ainsworth sur l’attachement, les brillantes recherches de Spitz sur les psychopathologies institutionnelles (l’hospitalisme) viennent démontrer que si les crèches peuvent assurer le développement physique des enfants, « de sérieux doutes émergent quand à leur potentiel à favoriser un tant soit peu une bonne santé affective et psychique »[16]. Le monde commence à réaliser que l’enfant est une personne à part entière et qu’il a des besoins spécifiques indispensables à son développement. Quoiqu’il en soit, dès les années 50, se fait sentir la nécessité de passer d’un simple « gardiennage-toilettage » des enfants à un concept de prise en charge psychopédagogique.

La formation devient donc une nécessité et entre (enfin) en scène. A Lausanne en 1954, est fondé l’institut pédagogique « les Gais Lutins » dans la structure d’accueil du même nom. A la même époque d’autres instituts de formation de jardinières d’enfants ouvrent en Suisse Romande (Ecole Floriana, Aurore,…), notamment la fondation Gustave Curchod qui fusionnera avec le Centre d’éducation de l’enfance inadaptée (du couple Pahud) pour devenir en 1964, l’Ecole d’Etudes Sociales et Pédagogiques. A tire d’exemple, le contenu de la formation proposée par l’IPGL est essentiellement axé sur le respect des règles d’hygiène et de sécurité, la gestion, les notions de base de la puériculture, ainsi que la didactique et préparation des activités[17]. Ce qui caractérise alors les formations dans le domaine de la petite enfance jusque dans les années 80 est l’hétérogénéité, tant dans les diplômes décernés que dans les contenus enseignés. Cela ne favorise évidemment pas la construction d’une identité professionnelle claire, tant à l’intérieur de ce corps de métier qu’à l’extérieur. Il faut attendre la mise en place des réseaux HES puis ES, pour tendre vers une harmonisation des titres décernés et surtout pour construire une explicitation des nombreuses compétences qu’il s’agit d’acquérir pour exercer de manière professionnelle le métier d’EDE. Le Plan d’Etudes Cadre (PEC) de l’EESP est le premier outil à poser de solides bases dans ce sens en 2002[18]. Néanmoins, ces dernières ne concernent les professionnels de l’enfance que jusqu’en 2007, date de la dernière volée des diplômé·e·s éducateur/trice de l’enfance ESTS (Ecoles Supérieures du Travail Social)[19]. En 2007, le Plan d’Etudes Cadre de l’Ecole Supérieure en Education de l’Enfance[20] développe de manière spécifique les compétences à acquérir pour exercer la profession d’éducateur/trice de l’enfance et délivre dès 2011 des diplômes ES (reconnus au niveau de la Confédération).

Ajoutons encore à cela, qu’il faut attendre plus d’un siècle après l’ouverture de la première crèche pour qu’une ordonnance fédérale vienne en réglementer le fonctionnement (Ordonnance Fédérale sur le Placement d’Enfants de 1977). De plus, au crépuscule des Trente Glorieuses, la situation économique des familles s’est améliorée et l’émancipation des femmes se met en marche. Les familles de classe moyenne peuvent désormais placer leur enfant en structure d’accueil par choix et non plus par obligation comme ce fut le cas jusqu’alors, et comme ça l’est de nos jours…

Enfin,  en 2004, dans le canton de Vaud, la nouvelle loi sur la protection des mineurs vient également donner officiellement un nouveau rôle aux EDE dans la prévention et la protection des enfants, en instaurant l’obligation pour tout professionnel de l’enfance de signaler les situations dans lesquelles l’enfant est en danger dans son développement (art 26, LProMin).

Epilogue ?

Les représentations liées au métier d’EDE se sont forgées durant 150 années d’exercice et ont bien heureusement évolué, même si les éléments de reconnaissance de cette fonction tels que par exemple les diplômes supérieurs, sont très récents en regard de l’histoire du métier qui traverse trois siècles.

Il est tout de même étonnant de voir comment certaines caractéristiques de cette fonction datant du XIXe siècle sont encore solidement ancrées dans les esprits. A témoin l’initiative démagogique des crèches low-cost, de feu Otto Ineichen (2012). Une de ses « brillantes » idées étaient d’engager des mères et des grands-mères en lieu et place d’éducatrices diplômées (ou en collaboration avec un nombre très réduit d’entre elles). M. Otto le soldeur mettait en avant la nécessité de bon sens dans l’éducation des enfants et la priorité des compétences maternelles sur les compétences professionnelles acquises durant des formations qu’il juge trop académiques[21]. La représentation d’éducatrices « astiquant » marmots et vaisselle en faisant appel à leurs qualités « innées » de femmes au foyer a encore malheureusement la dent dure !

Ce dernier exemple illustre bien que la question du genre est, et reste, problématique pour la valorisation du métier en regard d’autres professions essentiellement féminines et dans lesquelles les emplois à temps partiel ou durée déterminée sont légions.

Beaucoup de chemin reste à parcourir, donc… Néanmoins, les principaux acteurs de cette quête légitime de reconnaissance sont bien les EDE eux-mêmes. Pour cela, il semble important que ces professionnels de l’enfance puissent sortir du mutisme sur leur pratique professionnelle. Comme le relève Virgine Saddock[22], les équipes éducatives des crèches partagent apparemment une certaine culture du silence sur certains éléments de leur quotidien professionnel. Stratégie de défense par rapport aux critiques extérieures ? Contenance pour préserver l’équipe et les parents ? Ou encore attentes de la société liées à l’imaginaire édulcoré de la parentalité ? Tous ces éléments jouent évidemment un rôle dans la construction de l’image de ce métier « bien souvent confiné à une sphère proche de la sphère privée » et qui « ne parvient pas à dépasser le stade de l’élaboration confidentielle »[23].

Comme pour toute représentation, l’évolution est possible. Pour les EDE, il s’agit de prendre la place qui leur est due dans le réseau, en se considérant et en se faisant considérer comme des professionnels formés et compétents, à l’instar de tous les autres acteurs du réseau, et enfin, en étant convaincus de l’importance que peuvent jouer leurs observations dans des prises de décision majeures pour les familles. C’est ce qu’a compris finalement notre assistant social du SPJ qui a eu la sagacité de ne prendre de décision au sujet d’Alexandre qu’après avoir écouté ce que l’EDE de référence et sa directrice avaient à lui dire…


[1] Prénom d’emprunt.

[2] Moscovici, Serge (1961), La psychanalyse, son image, son public, Paris, PUF. Cet ouvrage pose le concept de représentation comme système de valeurs socialement partagé qui permet à l’individu d’interagir avec son environnement.

[3] Héritier, Jean, « Des crèches pour les enfants pauvres », in : Les collections de l’Histoire, 2006, N° 32.

[4] Source : http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/01/06/blank/key/04/03.html

[5] Dolléans, Edouard (1948), Histoire du Mouvement ouvrier, t.1, Paris, Armand Colin.

[6] Bourquin, Jacques, « Le Mettray des origines », in : Revue d’histoire de l’enfance « irrégulière », 2007, hors-série.

[7] Lanza, Michael (?), Ainsi font font font : de la première crèche de Vevey à la garderie des marionnettes, Vevey, Direction des Affaires Sociales et Familiales de la Ville de Vevey

[8] Lafotant Valotton, Chantal, «  La crèche, histoire d’une genèse difficile : l’exemple de Neuchâtel », in : Revue [petite] Enfance, N° 103, 2010.

[9] Héritier, Jean, op.cit.

[10] Lafontant Valotton, Chantal (2006), Garder les plus petits : naissance d’une crèche neuchâteloise, Neuchâtel, Alphil.

[11] Règlement du 20 décembre 1897du Ministère de l’Intérieur sur les crèches (France),  cité dans Buisson, Ferdinand (sous la dir.), Nouveau dictionnaire de pédagogie et d’instruction primaire (1911), édition électronique (http://www.inrp.fr/edition-electronique/lodel/dictionnaire-ferdinand-buisson/)

[12] Bouve, Catherine, « A l’origine des crèches » in : EJE, n° 27, 2011.

[13] Héritier, Jean, « Des crèches pour les enfants pauvres », in : Les collections de l’Histoire, N° 32, 2006.

[14] Bouve, Catherine, op. cit.

[15] Bouve, Catherine, op.cit.

[16] Accueil collectif de jour de la petite enfance (2003) , ouvrage collectif des carnets de la petite enfance de la coordination romande, Lonay, LEP.

[17] Selon Walter, Marcelle, « Allocution à l’occasion des 50 ans d’IPGL », 2003 (support vidéo), Lausanne, CREDE.

[18]  Haute Ecole Spécialisée de Suisse Occidentale, « Plan d’Etudes Cadre du travail Social », 4 septembre 2002.

[19]  Meyer, Gil & Spack, Annelyse, «  La professionnalisation des professionnels de la petite enfance dans le canton de Vaud, in : Actualité Sociale, édition électronique (http://www.avenirsocial.ch/fr/cm_data/Art_Meyer-Spack.pdf)

[20] Ecole Supérieure en Education de l’Enfance, « Plan d’Etudes Cadre Educatrice/teur de l’Enfance ES », 21 juillet 2007.

[21] in : www.letemps.ch, « Les crèches low-cost : un pari compliqué », 14 mai 2012.

[22] Saddock, Virginie, « Dire et ne pas dire chez les professionnels de la petite enfance », in : Revue [ petite]  enfance, 2013, N° 109.

[23] Saddock, Virginie, « L’enjolivement de la réalité, une défense féminine ? Etude auprès des auxiliaires puéricultrices », in : Travailler, 2003/2, N°10.

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