À tant comptines conter…

Si comptines m’étaient contées

Un, deux, trois… comptine !

Ainsi font, font, font les petites mélodies, elles vous reviennent quand on ne les attend pas – ou vous filent entre les doigts alors qu’on les recherche ! Un moment avec un enfant, le change, le repos, le repas, une balade.

Un petit temps suspendu, l’espace d’un regard et ça y est : marionnettes, lapins blancs et souris vertes se raboulent. Fredonnée lèvres closes tout d’abord, histoire de laisser revenir les paroles, l’enfant a déjà attrapé le fil. Alors tant pis si ça ne veut rien dire, ça chantonne et ça enchante. La voix gratouille, la note déraille, tant pis ! Ces chansonnettes se contentent d’une voix presque parlée. Paroles et mélodie farandolent d’elles-mêmes et s’il y manque un bout, on l’invente. Un verset de plus, une rime rigolote et le tour est joué. On sourit, l’enfant aussi. On se dit : ça ne va pas chercher loin, tout ça. Pas loin, vraiment ? D’où viennent-elles, de qui les tenons-nous et pourquoi y tenons-nous ? Sous plusieurs noms, comptines, contines, enfantines ou rimes, elles nous sont parvenues en maintes versions, mais celle de notre enfance reste bien sûr la meilleure. Il n’est pas rare qu’à les comparer, chaque adulte tienne bon sur un souvenir de sa propre enfance – chez moi, on disait ainsi, nous nous souvenons d’une formulette qui, forcément, est la « vraie ».

Sur ce point, dans son pétillant ouvrage intitulé Rimes et comptines, Evelyne Resmond-Wenz (2008) nous donnera raison. Ce livre (paru chez Erès, 1001 BB) veut donner plusieurs voix aux formulettes, chansonnettes, enfantines et autres trésors d’enfance. Alors que le mot comptine et son orthographe comptable nous envoient promener au bois, cerises comprises, cette auteure nous invite à quelques détours où le délice des mots séduira l’ami des contes comme celui des comptes. En effet, il est de bon ton de trouver aux comptines des fonctions et des objectifs pédagogiques. Leur présence dans les métiers éducatifs est argumentée par des visées sur l’approche du langage, du nombre, de la musique. Evelyne Resmond-Wenz nous prend cependant par la main vers plus buissonnières surprises, qui sans compter chatouillent l’oreille, l’enfance et l’âme. Son livre nous invite à entrer dans la tradition orale d’une parole mobile qui traverse berceaux et préaux, sautille de bouches en oreilles, cascade à travers le temps. On sent y ruisseler une mémoire emperlée de mots rigolos, de rimes et de rythmes, d’anciens sourires tout rafraîchis: ce plaisir n’a pas d’âge, ou alors il les a tous en même temps.

Poésie de l’enfance

C’est que, bien avant d’être récupérées à des fins pédagogiques, les comptines (ou empros, ou kyrielles, il y a tant de noms) couraient déjà comme furets! Tout comme les poèmes ou les chansons, les comptines existent dans tous les pays, dans toutes les langues. Elles sont passées par ici : aux six coins de la France, dans tous ses arrière-pays francophones (pour ce qui est de la richesse de la langue, ce seraient plutôt des avant-pays). Elles repasseront par-là, trois p’tits tours de mains et de mots, au berceau, au repas, au bain, au pré. Pour sourire, pour dormir ; pour patienter, pour se dépêcher, avoir peur pour de faux et rire pour de vrai.

Dans son travail de mise au jour cette auteure insiste : les comptines passent par qui les fredonne, par qui les redonne. Portées par la voix parlée et chantée, elles nous sont parvenues avec des variations qui, justement, appartiennent à leur genre. Vers libres de leurs pieds, elles se fichent bien de la métrique de la « grande » poésie. Comme le dit Resmond-Wenz (op. cit., p. 113), « il ne s’agit pas d’une poésie pour les enfants, mais bien plutôt d’une poésie de l’enfance. Le poète anonyme n’est pas trop regardant, il s’arrange, il ne s’embarrasse pas de la rime, il se contente de l’assonance. » Les sonorités craquantes du petit crapaud grillé, grissaucisse, grissaucisson, en font un régal ! Les comptines voyagent à travers le temps et l’espace, sont passées de grands-pères en petites-filles, de sœurs en petits frères, de copines en copains. C’est ainsi qu’elles reviennent dans nos maisons, papillons voletants, passées par la garderie, le parc, le préau. Issues de la tradition orale, les comptines circulent entre enfants, entre adultes et enfants. Tout-petits, même : ces historiettes que l’on appelle aussi « jeux de nourrice » sont autant de moments de découverte corporelle, affective, gestuelle, langagière avec les bébés. Change, toilette, repas, repos sont ainsi portés par un filet de regards, de gestes et de mots mi-chantés, mi-parlés, qui tout à la fois contient et autorise. Il faut rappeler que la littérature orale de l’enfance est souvent fonctionnelle. Elle berce les premiers sommeils, aide à patienter, accompagne les apprentissages, les transforme en jeux. Et si nombre de comptines sont aujourd’hui « enseignées » à l’école, il est bon de rappeler qu’elles vivent avant tout dans une transmission gratuite et joyeuse. Bien avant l’entrée à l’école !

A lire, à dire

Heureusement pour les professionnelles de la petite enfance, les comptines sont également disponibles sous forme écrite ou enregistrée. De nombreux ouvrages les ont collectées, réécrites, illustrées, à l’intention des enfants et des adultes à qui ça chante d’aller voir. Il est ainsi possible de (re)découvrir un répertoire où la langue française prend ses aises comme pas souvent. Des mots anciens flottent ci et là, des patois pas tout à fait oubliés: La lune et le cresant, Quy nous fache beaux et grans, tirée d’un très ancien recueil, la « Friquassée Crotestyllonnée » (1604) (citée par Resmond-Wenz, op. cit. p. 82). La lune et le croissant nous ont-ils faits si beaux, si grands que nous en perdrions la voix? En tout cas, dans les préaux d’aujourd’hui, d’éphémères maisons sous terre abritent des mots immigrés : Dans ma maison sous terre / Oh my way, oh my way, / oh tao tao ouistiti / oh tao tao ouistiti / one, two, three ! (Bataillon & Gasté, 2009, p. 153). D’autres mots, d’autres langues viennent en effet créoliser les textes, et c’est souvent à la lecture seulement qu’ils sont reconnus. Bien plus que le sens, ce sont les sons de la langue goûtés à l’oral, les assonances, qui les gardent vivants.

Les comptines en effet ne s’embarrassent pas de réalisme. Elles évoquent des images, jouent sur les sons de la langue, des voisinages amusants, parfois polissons. La souris verte trouve-t-elle que Ça sent la crotte ? Les adultes auront beau jeu de planquer tout ça sous quelque rime sans –otte, c’est bien plus drôle avec. Les comptines ont tout à voir avec la vie quotidienne. Beaucoup des plus anciennes parlent des travaux, de l’eau à transporter, comme Sainte Maritaine dont l’eau s’est renversée. Ce sont les comptines de fontaine. Citons aussi les comptines de toile, qui accompagnent les gestes des fileuses et des tisserands, et racontent souvent tout autre chose : les navettes tissent refrains et amours comme au XIIe siècle, avec Belle Doette. Mais toutes les comptines n’ont pas toutes une portée historique, ni même logique ! Outre-Manche, le fameux Hey diddle diddle, the cat and the fiddle / The cow jumped over the moon / The little dog laughed to see such fun / And the dish ran away with the spoon! ne veut rien dire, mais les images absurdes, les sons dansants en font tout le charme. Le Wonderland d’Alice n’est pas loin.

Recueils, albums et CD révèlent un patrimoine plein de vigueur et de surprises. C’est une joie d’y musarder en pensant à tel ou tel enfant, à une activité où, c’est sûr, on va placer à bon escient Y a une pie dans l’poirier, ou Qu’est-ce qu’elle a donc fait la p’tite hirondelle / Elle nous a volé trois p’tits sacs de blé. La forme écrite nous donne cependant une image figée. Elle nous permet de soulever le couvercle d’un immense coffre au trésor, mais le chatoiement des comptines ne se déploie qu’à l’oral. Le temps s’est arrêté dans les livres, les mots sont imprimés, l’encre sèche. Les comptines attendent une voix qui les lise, les avive, les envole. La nôtre ? « En poésie, le mot souffle prend la place du mot langage » (Resmond-Wenz, op.cit., p. 102). Il faut dire les comptines à voix haute. Entre lire et dire, il n’y a qu’un souffle de différence, et tant pis si à votre voix des gens sursautent dans les studieuses travées des bibliothèques ou entre les rayons feutrés d’une librairie.

Les comptines n’ont pas de titre. La plupart du temps, elles n’ont pas d’auteur non plus, bien que Desnos nous ait laissé des enchantements, la fourmi de dix-huit mètres, le pélican de Jonathan. Anne Sylvestre aussi, avec ses fabulettes, paroles et musique. La plupart du temps, les comptines vivent sans majuscule, sans quatrième de couverture, sans couverture du tout, elles n’en ont pas besoin. Elles appartiennent à qui les dit, à qui les reçoit, grand ou petit. Fragiles comme la voix, labiles comme la parole, elles sont constamment réinventées selon les lieux, les personnes, les moments. Un petit art, perpétuellement mineur, où gambadent les corps et où les gestes touchent à point nommé, ni trop, ni mal. Dans le jeu de Bélier, bélier, boum !, le succès est assuré avec un bébé dès six mois. Il s’agit de répéter « bélier, bélier… » en approchant peu à peu son visage de celui d’un bébé assis en face sur les genoux, et de dire « boum ! » au moment précis où les deux fronts se touchent : « L’explosion du son B est propice à la reconnaissance de ce jeu. Il faut évidemment que chaque participant soit suffisamment modéré pour ne pas avoir mal. Les plus petits sont aussi les plus prudents (…) ils maîtrisent leur mouvement de tête dans ce jeu, afin de ne pas se faire mal » (Resmond-Wenz, op. cit., p. 38).

Jeux de mains, jeux d’accords

Les comptines et les jeux à deux, un enfant sur les genoux comme En bateau ma mie ou Bélier boum ! apportent chacune leur frisson à la fois attendu et inopiné. Plouf dans l’eau ou Boum surviennent dans un rire commun. Cette petite peur ne fait pas trop peur, l’enfant en redemande ! Daniel Marcelli montre comment se construit ainsi une confiance qui rend la surprise possible, ni trop menaçante ni trop prévue. Avec Boum les fronts font semblant de se cogner, avec Plouf dans l’eau on chute pour de faux. C’est pour beurre, c’est « de jeu », l’inattendu est attendu mais surprend tout de même, comme une chatouille de l’âme (Marcelli, 2000). Les jeux sur les genoux sont nombreux qui imitent le pas du cheval, son trot puis son galop. Au galop, il arrive que l’adulte fasse, pour rire, semblant de lâcher l’enfant « juste entre la confiance et la frayeur, ce qui provoque généralement une remise en selle et la répétition de la cavalcade » (Resmond-Wenz, op. cit., p. 47). C’est ainsi que l’on appelle parfois ritournelles ces chansonnettes qui ne vous lâchent plus. Leurs paroles scandent les mouvements de chacun en un rituel maintes fois répété. La chansonnette égrène les épisodes, elle ordonne et décompte le temps. Est-ce pour cela qu’on les appelle comptines ? Les paroles, la mélodie, le tempo servent de repère, soutiennent l’enfant dans sa découverte de la poésie, de la musique, du langage, de la temporalité. Peu importe que l’adulte chante « faux », l’important est qu’il ou elle chante, donne à sa voix des couleurs, des rythmes qui invitent l’enfant à en redemander (Bustarret, 2013, p. 48). A cet égard, il est vraiment à souhaiter que les parents soient encouragés et soutenus dans leurs jeux en famille avec les enfants : l’éducatrice a bien sûr à cœur de transmettre des jeux chantés et comptines dans la langue de la crèche, mais il est encore plus important qu’elle encourage les parents à chanter les comptines dans la ou les langues de la famille. Car les comptines existent dans toutes les langues : un jeu avec toutes les syllabes du monde. Que ce soit pour s’endormir, dans le bain, en marchant, en mangeant, en travaillant… Souvent les parents n’y pensent pas, mais même au téléphone avec un parent resté au pays, une chansonnette pourrait tisser son petit fil irisé de paroles, de tendresse et de poésie. Et si les comptines sont en dialecte, si elles parlent de métiers oubliés, tant mieux. Il ne s’agit pas tant de décoder que de comprendre, de prendre en soi une langue et sa musique.

Sous tous leurs noms : kyrielles, rimailles, empros, amusettes, bêtisettes, les comptines et jeux chantés sont irremplaçables avec les tout-petits. Le bébé rencontre sa mère, son père, ses grands-parents, son éducatrice. Le bébé « se découvre et découvre en même temps son parent lui révélant son corps » (Resmond-Wenz, op. cit., p. 51), avec une surprise qui ne fait pas vraiment peur mais juste un tout petit peu, une p’tite bête qui monte. Ou des jeux de doigts, ces historiettes dans la main qui donnent à sentir, à voir et à chanter, pour chacun des doigts de l’enfant : C’est la p’tite fontaine où les oiseaux vont boire / Celui-ci l’a pris / Celui-ci l’a plumé / Celui-ci l’a fricassé / Celui-ci l’a mangé / Et le p’tit Riquiqui n’a rien goûté, rien goûté ! Le « glinglin » peut aussi lécher le plat, ce qui offre la sensation d’une chatouille : et le p’tit qui n’a rien eu lèche le plat, lèche le plat. Citons aussi les comptines du visage, où le doigt de l’adulte dessine le visage en récitant Je fais le tour de ma maison (tour du visage) / Je ferme les volets (les yeux) / Je mets le loquet (le nez) / Je fais le tour de ma maison / Quand tout est bien fermé / Je file me coucher (fermer la bouche) / Au pays des tortues (le nez). Le visage y est souvent comparé à une petite maison, que l’enfant pourra bientôt reproduire à son tour sur le visage de l’adulte. A noter qu’en anglais, il existe une version où le visage est dessiné comme… une théière : I’m a little teapot / Short and stout / Here is my handle / Here is my spout / When I get all steamed up / Hear me shout / Tip me over and pour me out.

Histoire, historiettes

On trouvera avec plaisir de nombreuses et amusantes nursery rhymes sur internet. Dans les pays anglophones, elles paraissent en effet bien vivantes, pas du tout désuettes ! Tout comme en français, elles portent des traces historiques. Par exemple l’industrie de la laine en Angleterre du XVIIIe siècle, avec le très connu Baa, baa, Black Sheep / Have you any wool ? / Yes, sir, yes, sir, three bags full / One for the master / And one for the dame / And one for the little boy who lives down the lane. La mélodie est celle d’Ah, vous dirai-je Maman, tout comme Twinkle, twinkle, little star / How I wonder what you are / Up above the world so high / Like a diamond in the sky / Twinkle, twinkle, little star / How I wonder what you are! En Amérique du Sud, Duerme, duerme Negrito berce un enfant à qui le dur travail de sa mère va paraître, le temps d’un rêve de fruits et de cailles, plus doux.

Les mélodies des comptines sont souvent simples et répétitives, fonctionnant sur des intervalles de la gamme pentatonique (sol et mi le plus souvent) que la voix humaine attrape au vol et relance. Il n’est dès lors pas rare d’avoir la joie d’entendre un bébé reprendre une syllabe, une intonation !

Les comptines ont parfois été des chants de marche, il arrive qu’elles parlent de tambours, de clairons ou de guerre. Malbrough, les Trois jeunes tambours, la Blonde auprès de laquelle il fait si bon dormir parlent de mort et d’amour, mais sous une forme que le temps a adoucie et que les petites oreilles peuvent entendre. La Pêche aux moules nous emmène à la mer, Aux marches du palais un p’tit cordonnier a eu la préférence. En les passant plus loin, vous allez pouvoir chanter, danser et embrasser qui vous voulez.

Prunes et groseilles

Il est temps de préciser un point. Tout comme la « grande musique », ou la « poésie des grands », les comptines sont destinées à être dites, prononcées avec toutes les inflexions de la voix et les gestes du corps. Et donc entendues, reçues tout oreilles : c’est qu’il y en a plusieurs ! Les oreilles, bien sûr, qui savent qu’écouter c’est sentir (sentire en italien signifie entendre) ; le crâne qui résonne lorsque les têtes se touchent ; les côtes ouvertes au souffle ; les pieds en gambade ; la bouche gourmande de son ; et aussi le dedans des mains, chacun des doigts et le poing. On parle d’arts vivants lorsque tout le corps participe, émission et réception. Les comptines appartiennent à la tradition orale. Comme les partitions de musique, elles reposent dans des livres, dans les replis de la Toile ou post-itées à nos frigos, juste pour mémoire. Pense-bêtes utiles à nos têtes besogneuses, ces textes n’ont pas vocation à être « enseignés par cœur » ! Les cadeaux-comptines sont à offrir tout chauds aux enfants, tous les jours. Passe, passe, passera, la dernière, la dernière restera, si un enfant allait la répéter à la maison, cadeau encore, c’est que la comptine, comme un petit fruit mûrit. Bonsoir madam’ la Lune / Que faites-vous donc là ? / Je fais mûrir des prunes / Pour tous ces enfants-là / Bonsoir monsieur l’Soleil / Que faites-vous donc là ? / J’fais mûrir des groseilles / Pour tous ces enfants-là (Rolland, 1883/2002, p. 11).

Bibliographie comptinière

Bataillon, Stéphane & Gasté, Eric (2009). Mon comptinier (livre et CD). Paris, Tourbillon.

Ben Soussan, Patrick ; Bustarret, Anne-Hélène et Cazalet, Marie-Hélène (2001). 1, 2, 3, comptines ! Ramonville-Ste-Agne, Érès.

Bruley, Marie-Claire & Painset, Marie-France (2007). Au bonheur des comptines. Paris, Didier Jeunesse.

Bustarret, Anne-Hélène (2013). Toutes mes chansons préférées (livre et CD). Paris, Nathan.

Favre-Bulle, Liliane & Garo, Edouard (1976). Prim’s. Nyon, Prim’s.

Desnos, Robert (1952/2000). Chantefables et Chantefleurs. Paris, Grund.

Grosser, Anne-Marie (2006). Jeux de mime et jeux de mains (DVD). Courlay, Fuzeau.

Grosser, Anne-Marie (2006). Danses enfantines (DVD). Courlay, Fuzeau.

Grosser, Anne-Marie (2006). Jeux de balle et jeux de cordes (DVD). Courlay, Fuzeau.

Marcelli, Daniel (2000). La surprise, chatouille de l’âme. Paris, Albin Michel.

Resmond-Wenz, Evelyne (2008). Rimes et comptines, une autre voix. Ramonville-Ste-Agne, Erès.

Rolland, Eugène (1883/2002). Rimes et jeux de l’enfance. Paris, Maisonneuve & Larose.

Sylvestre, Anne (2000). Pour marmots et marmottes. Arles, Actes Sud.

Trémouroux-Kolp, Odile (1997). Le chemin des comptines. Bruxelles, Labor.

Sur internet

Garo, Edouard. http://www.garo-ed.com/Pedagogie

Sidredoulx, Epiphane & Blanchemain, Prosper (1604, 1878). La Friquassée Crotestyllonnée.
www.bmlisieux.com/normandie/friquase.htm
https://archive.org/details/lafriquassecrot00cailgoog

Yupanqui, Atahualpa : Duerme Negrito : http://www.youtube.com/watch?v=0Jo5mBZZGqU

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